Je vous souhaite une bonne année 2016
et pour tous, qu’elle soit plus belle que 2015 !
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Association de la Protection du cadre de vie de Lédenon-Gard
Je vous souhaite une bonne année 2016
et pour tous, qu’elle soit plus belle que 2015 !
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Après “La lune” et “La Plage”,
nous allons à “La piscine”
Située juste en bout de la Passe Sud,
c’est un espace peu profond, où nagent des napoléons, de jolis petits poissons
et une bonne vingtaine de requins “pointe noire”, inoffensifs.
le tout sous le regard impassible des sternes huppées
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Les napoléons :
aujourd’hui, ils sont trois : deux énormes et un petit (un bon mètre quand même!)
ils sont adorables, ils se laissent caresser sans problème
Ils ont tous des petits remoras sur la tête, le ventre ou les deux.
Il y a aussi des requins pointe noire,
et un gros baliste Titan
Je peux vous dire, que bien qu’il soit le plus petit des trois,
et pour lui avoir laissé un petit bout d’oreille … c’est, de loin, celui que je crains le plus.
Il devient irascible quand il protège ses oeufs,
et il suffit de s’approcher un peu trop près pour déchaîner sa colère !!!
des nuages de petits “bagnards”,
quelques Chirurgiens à joue blanche,
Un Nason zébré,
des poissons-perroquets, le plus souvent dans les tons bleu/vert,
mais aussi à bande jaune comme celui de dessus
Encore un Baliste Titan
des petits poissons-papillons,
et des petits poissons bleu vif, qui petit à petit me guident jusqu’au tombant.
Nous y voilà : toujours des Nasons et des perches à raies bleues
Au fond, c’est le début de la Passe Sud
réputée pour son “mur de requins” (requins gris de récif)
JF ira faire un tour, pendant que je retournais jouer avec mes napoléons.
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A partir de là, les photos ne sont pas de nous.
Elles nous ont été données par Denis, plongeur qui logeait dans le bungalow voisin.
Merci, Denis pour ces belles photos !
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
Acanthaster : étoile de mer mangeuse de corail
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
Poissons-papillons et poissons-cochers
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
Un banc des rougets
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
Carangues et barracudas
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
une raie manta
(Photo Denis Rivière)
Des requins dormeurs
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
Un Triton et un cône-textile, capable de lancer son dard empoisonné
et vous injecter son venin, pouvant entraîner la paralysie des muscles respiratoires
et la mort dans 70% des cas
(Photo Denis Rivière)
(Photo Denis Rivière)
Voilà, Fakarava, c’est fini !!!
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Après notre balade matinale, nous partons en bateau,
pour le lieu-dit : “la Lune”
Ce qui frappe d’abord, c’est la clarté de l’eau et la beauté des coraux.
Jaune, violet, rose, les couleurs sont intenses.
Presque toutes les formes de corail sont représentées :
corail mou, branchu, massif, encroutant, tabulaire,
en forme de champignons, ou de cerveau …
Ces coraux sont “incrustés” de bénitiers …
et abritent des colonies de poissons :
… des poissons papillons,
un Poisson-ange Empereur,
des chirurgiens-bagnards, encore des papillons,
un bel inconnu …
des requins et des barracudas .
L’impression de nager dans un aquarium de deux mètres de fond !!!
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Après une petite pause et un petit rafraîchissement,
nous partons nous promener sur le récif.
Nous dérangeons un oursin-crayons,
Raymond, notre guide du jour,
nous montre comment sont fixés les “crayons” sur un test sec.
Nous trouverons d’autres tests d’oursins de différentes espèces,
qui vivent sur le récif.
Nous verrons aussi des murènes sous les rochers,
et de nombreux petits poissons dans les trous d’eau …
très surveillés par les Noddis bruns
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Nous terminerons la journée au lieu-dit “La Plage”
Des bébés requins nagent dans 30 cm d’eau.
les adultes ne sont pas loin.
Nous rencontrons un énorme Mérou marbré .
Nous en verrons d’autres, cinq ou six
Les coraux, ici sont branchus, en forme de “Corne-de-Cerf”.
Ce corail aime les eaux claires et calmes.
on ne le trouve que dans les lagons bien drainés.
L’UICN l’a inscrit sur la liste rouge des espèces “en danger critique d’extinction”
UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature)
La mer monte,
la plage est inondée,
il est temps de retourner au bungalow …
Superbe journée !
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Le lendemain matin,
nous décidons de découvrir un peu mieux les lieux,
et de faire un tour côté océan.
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Notre bungalow est entouré de ces petits arbustes à fleurs jaunes,
dont j’ignore le nom.
un genre de pourpier à fleurs jaunes pousse dans le corail
Des kalanchoes,
de toutes petites et délicates fleurs blanches,
Les arbres à Nonos,
et bien sûr des Tiarés,
et des Frangipaniers, qui fleurissent si bien, nos salles de bains.
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Nous faisons connaissance du cochon.
Il n’a pas vocation de finir en rôti,
il est là en tant que “nettoyeur”.
En effet, sur ces îles isolées se pose le gros problème des déchets :
ici, tous les restes alimentaires sont donnés au cochon,
mais aussi aux canards, aux poules …
Tout ce qui est bois, papier, carton est brûlé,
le reste (plastiques, verre …) est ramené sur l’île de Tahiti,
qui a les installations réglementaires pour la gestion des déchets.
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Les crabes sont présents partout …
ainsi que les petits “margouillats”
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Et puis, il y a “Frégata”,
une belle frégate qui s’est installée ici, libre d’aller et venir …
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Nous passons devant une rangée de grands Filaos (Casuarina equisetifolia),
appelée pompeusement “Avenue des Champs Elysées”
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L’autre côté est beaucoup plus sauvage
D’autres pensionnaires ont construit des “statues” en corail mort
Les vagues sont violentes.
A marée basse, on peut observer des oursins “tortue” ( Colobocentrotus atratus)
solidement accrochés aux rochers
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La trompe sonne : le petit-déjeuner est prêt
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Côté lagon, l’eau est claire !!!
Justement Eric, nous propose d’aller faire une balade au lieu-dit “la lune” …
(à suivre !)
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Le voyage continue !
Nous quittons Tikehau, pour l’atoll de Fakarava
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En passant, nous survolons notre bungalow (étoile jaune),
Puis l’atoll de Rangiroa …
pour arriver, après une heure de vol à l’aéroport de Fakarava .
Sur tous les aéroports de la Polynésie française on est accueilli par les trois drapeaux :
– celui du gouvernement de la Polynésie française
– celui des aéroports de Tahiti (ADT) qui gère tout le trafic entre les îles,
– Et le drapeau français, la Polynésie étant un territoire d’Outre Mer de la France.
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L’atoll de Fakarava est classé par l’UNESCO en réserve de biosphère,
surtout pour ses fonds marins.
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Il faut une heure et demie en bateau rapide, pour relier l’aéroport (point rouge),
à notre pension (étoile jaune).
L’atoll est très peu peuplé :
quelques maisons de pêcheurs, une usine de production du coprah …
quelques fermes perlières …
et c’est tout !
La première chose que nous voyons en arrivant, est le bungalow flottant d’Eric,
le “patron” qui vit là avec ses chiens.
Nous arrivons à l’accueil
Ouvert aux quatre vents, cet espace est le seul où il y a un peu d’électricité
et on peut recharger nos téléphones et ordinateurs
A côté, du restaurant un “espace lecture”,
où les livres sont souvent dédicacés par des navigateurs célèbres.
Bienvenus à Raimiti, “là où le ciel rejoint la mer”,
c’est-à-dire, au bout du monde …
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Du ponton, nous avons aperçu les bungalows, noyés sous les arbres.
Il y a des bungalows, côté lagon et d’autres, côté océan.
Ils portent le nom de Robinson, côté lagon,
et de Crusoë, côté océan …
cela veut tout dire !
Si vous aimez le ski nautique, le parachute ascensionnel,
les boites de nuit avec la musique à fond …
vous avez tout faux …
Ici, on vient plonger, rêver, épier les baleines,
ne rien faire …
Voilà notre bungalow !
une ossature en bois, des murs en palme, des rideaux de coquillages …
pas de porte ni de fenêtre, juste des rideaux …
une salle de bain rustique, mais originale et belle,
avec de l’eau chaude, fournie par des chauffe-eau solaires.
Vue de la salle de bain, à travers son rideau de coquillages.
avec, bien sûr, l’inévitable lampe tempête .
Le soir, après un excellent repas, nous nous installons au bout du ponton,
pour admirer le coucher de soleil.
Demain, est un autre jour …
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Juste un petit entracte, entre deux îles de Polynésie
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Visite à Paris de la Galerie de minéralogie
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Longtemps fermée pour travaux, elle a réouvert fin décembre 2014
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Je vous laisse admirer !
C’est beau !!!
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Et si vous avez des enfants (ou des petits-enfants),
ne manquez pas “La Grande Galerie de l’Evolution”,
ils seront passionnés !
Terrestres ou marins, tous les animaux sont là, à portée de main …
Ici, un squelette de Rorqual bleu …
Impressionnant !
Le lagon de Tikehau
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Sous notre bungalow, les coraux nous attendent.
Très beaux et en pleine santé, ils abritent beaucoup de poissons.
Des bagnards, un gros baliste Titan nous attendent.
Des nuages de poissons …
Des spirobranches-arbre de Noël,
des bénitiers,
un tétrodon moucheté,
Loche mouchetée, poisson papillon, labre clown, et un bel inconnu …
Baliste Picasso et baliste perroquet,
un turbot panthère,
Un requin passe …
Dehors, la pluie se déchaîne !!!
Sous l’eau, nous retrouvons de gros balistes
Des écureuils tachetés, des poissons soldats …
Des murs de poissons bleus …
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Le lendemain, le cyclone est passé, le soleil est revenu …
mais c’est le jour de notre départ pour l’atoll de Fakarava …
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Nous quittons les îles hautes, pour séjourner dans l’archipel de Tuamotu.
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Direction : Tikehau ;
Paul-Emile Victor le qualifiait d’atoll “le plus poissonneux de Polynésie”
Notre hôtel est là, quelque part, sur ces petits îlots mangés par la mer.
Nous atterrissons sur le tout petit aéroport de Tikehau.
Arrivés à l’hôtel, nous découvrons notre bungalow sur pilotis :
il fait beau …
Vue de notre terrasse, l’eau est transparente, et les poissons nombreux.
Nous partons réserver une excursion :
le tour du lagon en bateau, (dessus et dessous),
pique-nique,
et découverte de l’île aux oiseaux …
Il est tard, après un excellent repas,
nous nous endormons comme des bébés.
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Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu !!!
Le cyclone, avec lequel nous jouons à cache-cache depuis le début du voyage,
nous a rattrapés …
Pluie diluvienne, tornades … toutes les excursions sont annulées.
Nous nous partageons entre la terrasse du bungalow, un peu à l’abri,
le restaurant, le bar, la boutique … avec bien sûr l’indispensable parapluie de l’hôtel.
Le soir, la pluie se calme, mais le ciel est plus que chargé de gros nuages noirs …
Le lendemain matin, rebelote, pluie et vent violent sont au programme …
Toutes les excursions sont annulées
Un avion d’Air Tahiti essaie vainement de se poser …
Après plusieurs essais infructueux,
il repart à Tahiti !!!
Bonjour, les vacances, pour les passagers !
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En fin d’après-midi, la pluie se calme.
Nous en profitons pour faire le tour du motu et quelques photos des restes de corail.
Nous nous baignerons sur la plage “des Sables Roses”,
qui sont vraiment roses.
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Pendant les 5 jours de notre séjour, nous aurons de la pluie, du vent violent,
quelques rayons de soleil … Tous cela par intermittence et de façon inattendue.
Puisqu’on ne peut pas visiter le lagon,
nous prenons la navette de l’hôtel pour aller au village .
Les maisons sont dispersées dans une immense cocoteraie, sans clôture,
mais entourées de superbes jardins fleuris.
“Barbe de Vieux”, Spanish moss, Tillandsia usneoides,
cette plante de la famille des broméliacées, a besoin d’une certaine humidité pour vivre …
ici, elle s’accroche partout : dans les arbres, sur les piquets, sur les fils électriques …
d’où son surnom de “Filles de l’air”.
Bougainvillées, Orchidées, Euphorbes en fleur,
tous les jardins sont beaux et bien entretenus.
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Mais soudain, une forte pluie nous fait rentrer dans le premier snack venu.
la cuisinière est en train de préparer des langoustes pêchées le matin même …
Il nous reste une heure avant l’arrivée du bateau,
dehors la pluie et le vent se déchaînent …
Nous nous vengeons sur les langoustes …
Un régal !!!
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Nous décidons que, quoi qu’il arrive,
demain, nous irons faire une balade, masque et tuba dans le lagon …
car, sous l’eau, la pluie ne pourra pas nous mouiller !
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Arboriculture : culture des arbres fruitiers,
Viticulture : culture de la vigne,
Apiculture : élevage des abeilles,
Pisciculture : élevage des poissons,
Ostréiculture : élevage des huîtres …
Coraliculture : élevage du corail !
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C’est aux Maldives, il y a quelques années,
que nous en avons entendu parler pour la première fois.
Nous avions été intrigués par de curieuses cages en fer,
en forme de tables basses, posées sur les parties sablonneuses du lagon.
Questions ! Explications !
Après les méfaits du courant “El Niño”,
qui avait tué de nombreux coraux,
les spécialistes ont eu l’idée de “bouturer” du corail …
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La technique est simple :
– D’abord, prélever, des morceaux de corail de 3 cm environ, sur du corail vivant.
– Le travail est minutieux : ciseaux ou petite scie pour la coupe,
– La manipulation est délicate :
elle doit se faire, hors de l’eau, à l’ombre, avec des gants pour ne pas infecter les boutures.
– La suite est assez amusante :
La fixation des boutures sur les cadres peut se faire avec du ciment, de la colle,
et même avec du chewing-gum …
Pour les coraux mous, on peut utiliser du fil de pêche, des élastiques … ou des cure-dents.
Et ça marche !!!
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Les poissons du lagon ont vite compris qu’ils pouvaient s’y mettre à l’abri.
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Nous sommes toujours à Bora Bora, et devant notre bungalow,
nous avons un curieux arbre de Noël !
Aujourd’hui, il y a d’autres améliorations :
On injecte dans le métal de l’électricité de très légère intensité,
… fournie par des petits capteurs solaires, fixés sur les passerelles.
En effet, “quand une anode positive et une cathode négative sont sous tension électrique,
les ions calcium se combinent avec les ions carbonate
et adhèrent ainsi à la structure, sous forme de couches calcaires”
La croissance et la cicatrisation de la bouture de corail, sont plus rapides,
et leur survie plus importante.
La forme du cadre n’a pas d’importance :
carrée, en forme de tables, ou de cagettes amoncelées …
tout marche …
L’important c’est que les poissons soient heureux !!!
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