Nous quittons les îles hautes, pour séjourner dans l’archipel de Tuamotu.
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Direction : Tikehau ;
Paul-Emile Victor le qualifiait d’atoll « le plus poissonneux de Polynésie »
Notre hôtel est là, quelque part, sur ces petits îlots mangés par la mer.
Nous atterrissons sur le tout petit aéroport de Tikehau.
Arrivés à l’hôtel, nous découvrons notre bungalow sur pilotis :
il fait beau …
Vue de notre terrasse, l’eau est transparente, et les poissons nombreux.
Nous partons réserver une excursion :
le tour du lagon en bateau, (dessus et dessous),
pique-nique,
et découverte de l’île aux oiseaux …
Il est tard, après un excellent repas,
nous nous endormons comme des bébés.
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Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu !!!
Le cyclone, avec lequel nous jouons à cache-cache depuis le début du voyage,
nous a rattrapés …
Pluie diluvienne, tornades … toutes les excursions sont annulées.
Nous nous partageons entre la terrasse du bungalow, un peu à l’abri,
le restaurant, le bar, la boutique … avec bien sûr l’indispensable parapluie de l’hôtel.
Le soir, la pluie se calme, mais le ciel est plus que chargé de gros nuages noirs …
Le lendemain matin, rebelote, pluie et vent violent sont au programme …
Toutes les excursions sont annulées
Un avion d’Air Tahiti essaie vainement de se poser …
Après plusieurs essais infructueux,
il repart à Tahiti !!!
Bonjour, les vacances, pour les passagers !
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En fin d’après-midi, la pluie se calme.
Nous en profitons pour faire le tour du motu et quelques photos des restes de corail.
Nous nous baignerons sur la plage « des Sables Roses »,
qui sont vraiment roses.
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Pendant les 5 jours de notre séjour, nous aurons de la pluie, du vent violent,
quelques rayons de soleil … Tous cela par intermittence et de façon inattendue.
Puisqu’on ne peut pas visiter le lagon,
nous prenons la navette de l’hôtel pour aller au village .
Les maisons sont dispersées dans une immense cocoteraie, sans clôture,
mais entourées de superbes jardins fleuris.
« Barbe de Vieux », Spanish moss, Tillandsia usneoides,
cette plante de la famille des broméliacées, a besoin d’une certaine humidité pour vivre …
ici, elle s’accroche partout : dans les arbres, sur les piquets, sur les fils électriques …
d’où son surnom de « Filles de l’air ».
Bougainvillées, Orchidées, Euphorbes en fleur,
tous les jardins sont beaux et bien entretenus.
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Mais soudain, une forte pluie nous fait rentrer dans le premier snack venu.
la cuisinière est en train de préparer des langoustes pêchées le matin même …
Il nous reste une heure avant l’arrivée du bateau,
dehors la pluie et le vent se déchaînent …
Nous nous vengeons sur les langoustes …
Un régal !!!
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Nous décidons que, quoi qu’il arrive,
demain, nous irons faire une balade, masque et tuba dans le lagon …
car, sous l’eau, la pluie ne pourra pas nous mouiller !
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ah bon je me disais bien aussi !
Depuis le début de vos articles sur les îles je commençais à me demander si, finalement, le paradis n’existerait pas sur cette Terre …
Et puis Plouf ☺ (pôvres langoustes ☺)
Peut-être ! mais qu’est ce qu’elles étaient bonnes !!!!
les langoustes Corse sont meilleures !
c’est très beau les cyclones pour en avoir subit deux (Réunion et Maurice) , mais pour toi ça ressemble plutôt à une tempête tropicale ?
Nous aussi , on a pris un cyclone à Maurice !!!
Là c’était la « queue du cyclone. En réalité il y en avait trois qui se baladaient dans le Pacifique entre la Polynésie et Los Angeles … Pour les deux vols aller et retour on a du faire un crochet par Hawaii : bilan deux heures de retard à chaque fois … Tous les journaux en parlaient, le responsable désigné étant « El Nino » .