Il est venu le temps des cathédrales …

Non, je ne vais pas vous parler de ce fameux spectacle,

inspiré du roman de Victor Hugo “Notre Dame de Paris”,

qui a remis au goût du jour les comédies musicales

et fait connaître au monde entier de nouveaux artistes :

Garou, Hélène Segara, Patrick Fiori, et bien d’autres .

Jouée, plus de 4500 fois, elle a été vue par plus de 8,5 millions de spectateurs … Plusieurs équipes l’ont jouée pendant 20 ans …

Non, je vais vous parler du”vrai temps des cathédrales”…

le temps de leur construction .

Après le XII ème siècle, les hommes ont appris de nouvelles méthodes de construction .

Finies les églises romanes, toutes en rondeurs,

sombres, humides, aux murs épais,

à nous les grandes cathédrales plus hautes, plus élancées,

les façades entièrement sculptées, les vitraux …

Chaque ville veut SA cathédrale : Paris bien sûr, mais aussi Amiens, Reims, Nantes, Strasbourg, Chartres …

Vous en connaissez certainement d’autres …

Aujourd’hui, toutes sont classées sur la liste des Monuments Historiques .

Elles ont, toutes ce petit panneau qui le signale :

Pourquoi ce dessin ,

Et pourquoi un labyrinthe ?

C’est toute une histoire …

En 1985, en France, le Ministère de la Culture,

cherche un logotype pour signaler nos monuments historiques.

Les graphistes chargés de sa conception,

pensent aux cathédrales …

presque toutes classées “Monument Historique”…

Et presque toutes ont (ou avaient) un labyrinthe …

Choisir un labyrinthe d’église ? Mais lequel ?

Ils trouvent une anecdote …

Ils choisissent le labyrinthe de la cathédrale de Reims.

***

La petite histoire …

Le labyrinthe de la cathédrale de Reims a été construit en 1286.

Il était constitué de pierres noires.

Il représentait le chemin de pèlerinage que devaient faire les croyants, qui le parcouraient généralement à genoux .

Seulement, voilà !!!

Pendant l’office, les enfants s’amusaient à se perdre sur le labyrinthe, ce qui énervait fortement les prêtres …

En 1779, les chanoines ont ordonné sa destruction …

Les graphistes ont trouvé !!!

Juste un quart de tour, le carré devient losange,

du rouge pour remplacer le noir,

et le logo des monuments historiques est créé.

Vous pouvez le trouver aussi sur les panneaux indicateurs du bord des routes .

Il suffit que le monument historique soit ouvert à la visite.

***

Labyrinthe de la cathédrale de Reims … suite

De nos jours, les progrès techniques aidant, le labyrinthe est toujours présent, grâce à la projection de son dessin,

à son ancien emplacement …

… Et on peut l’éteindre s’il y a des enfants …

Le salon des orchidées de Vergèze, c’est demain …

Voici quelques photos, prises l’année dernière …

Ne me demandez pas leurs noms … Je ne suis pas du tout une spécialiste … Mais sur le salon, les amis de l’association et les producteurs, vous donneront tous les détails, et vous guideront dans votre choix, si vous vous laissez tenter par un achat …

Bonne visite !!!

Salon des orchidées à Vergèze …

Amis des orchidées,

réservez votre dernier week-end de Janvier …

Le salon des orchidées de Vergèze, dans le Gard,

c’est bientôt !!!

Pour vous donner envie d’y aller,

un montage photos

de quelques orchidées exposées l’année dernière …

A bientôt !!!

Papeete : le marché, suite et fin …

Il ne faut pas oublier de monter au premier étage du marché : vous y trouverez un grand nombre d’objets souvenirs : tissus, paréos, perles, coquillages, ivoire et bois sculptés, petits bijoux …

Totems, pagaies cérémoniales, plats, tortues … si vous voulez ramener juste un petit souvenir, n’hésitez pas !

C’est bien fait et pas cher, mais cela est un peu répétitif … mais quand votre objet sera chez vous, il deviendra une pièce UNIQUE …

***

Par contre, si vous vous voulez une pièce originale, allez dans une galerie d’art.

Sur Papeete, il y en a deux, à voir absolument ! Acheter ou pas, ce n’est pas vraiment le problème, mais vous parlerez avec des passionnés des arts polynésiens, aussi bien des Marquises que des îles Australes.

Chez Ganesha (Centre Vaïma) et chez Manua (Boulevard Pomaré), on vous expliquera la différence entre l’art des Marquises et celui des Australes.

Les sculptures des Marquises possèdent toutes, la croix marquisienne, très caractéristique

Les sculptures des Australes sont plus minutieuses, plus précises … plus rares, aussi …

Tortues, plats, pilons, pagaies cérémoniales … un long travail de précision …

***

Pour les perles, le problème est le même : soit vous voulez juste un petit souvenir, vous en trouverez partout : au marché, mais aussi sur des étalages éphémères au bord des routes …

Mais si vous voulez un beau bijou qui marquera un anniversaire ou un souvenir important, allez chez un professionnel… A Papeete, bien sûr, mais aussi à Bora Bora, dans la “capitale” Vaitape.

On vous expliquera les critères de qualité d’une perle de Tahiti :

  • l’épaisseur de la couche de nacre. Plus l’huître restera dans l’eau, plus la couche sera épaisse … ( un bon professionnel vous fournira un certificat)
  • la taille : plus elle est grosse, plus elle est chère …
  • la forme : l’idéal est la sphère parfaite, mais certaines en poire ont leur charme aussi.
  • la surface : il faut qu’elle soit lisse, sans aucune aspérité ni petit trou …
  • le lustre : il faut qu’elle brille, sans excés, avec un petit effet miroir …
  • la couleur : Là, c’est une affaire de goût personnel . Reflets blancs, verts, rosés, bleutés, violets … Il faut l’essayer sur sa peau, pour avoir “le coup de foudre” … ou pas !

A suivre …

Sortir ce week-end ???

D’abord, grande nouvelle, le blog fonctionne à nouveau !!!

Nous sommes arrivés à replacer toutes les photos à leur place !

J’espère que cette fois, cela sera définitif !!!

***

Voilà l’article du jour !

Ce n’est pas dans mes habitudes de faire de la pub, mais je vais faire une exception, pour vous signaler un petit salon artisanal que j’aime bien.

Rencontres des Métiers d’art, c’est à Pernes-les-Fontaines , dans le Vaucluse, entre Carpentras et l’Isle-sur-la-Sorgue.

Et c’est ce week end !

C’est un salon qui a lieu tous les ans

.

 

 

 

Le Centre Culturel “des Augustins” doit son nom à son emplacement sur l’ancienne église du Monastère des Augustins.

Après une sérieuse restauration, il devient le Centre culturel de Pernes-les-Fontaines : réunions, manifestations et notre salon artisanal.

Ce salon accueille des artisans de la région, et ce qui est intéressant c’est bien sûr, de voir leurs produits finis, mais surtout de les voir travailler.

***

Toutes les matières sont représentées :

 

l’osier avec des tressages originaux,

Le bois, artistique et utilitaire,

La terre,

D’ inattendus cadres en carton,

de très beaux couteaux…

Des métiers “anciens” remis au goût du jour

Une rempailleuse de chaises,

Un doreur et son travail minutieux,

Un horloger qui peut réparer vos montres, horloges, pendules,

et toutes les mécaniques du temps…

 

Le travail qui m’a toujours  intriguée, est celui de La Forge, avec ses portails, rampes d’escaliers, portes … Un vrai travail d’orfèvre !

***

Et bien sûr …

Il y a les bijoux …

Or, Argent, pierres,

mais aussi des plumes …

le travail est vraiment impressionnant …

 

Et puis, il y a Sara Bran …

J’allais dire hors concours …

tant son travail est unique : scier, percer le métal jusqu’à reproduire un effet de dentelle précieuse.

Son métier : dentelière sur or !!!

car, à ses débuts, elle s’est inspirée de vieilles dentelles au point d’Alençon !

***

Ne quittez pas Pernes-les-Fontaines, sans faire un tour dans ses ruelles : vieilles portes, lavoir ancien,

 

Son joli clocheton et son chat …

Vous pouvez aussi, vous amuser à chercher les fontaines …

Il y en a une quarantaine …

Toutes les photos sont, soit personnelles (d’une autre année),

soit prises sur le site des artisans cités.

(j’espère qu’ils ne m’en voudront pas trop pour avoir utilisé leurs photos)

Si vous voulez en savoir plus, voici leur site officiel

http://www.rencontresmetiersdart.com

Voilà venu le temps des olives …

Voilà de belles olives, bien vertes sur mes oliviers …

Cela donne envie d’en grignoter quelques unes à l’apéritif. Mais, bien sûr, il est hors de question de les manger directement sur l’arbre …. Comme je le vois faire, par des touristes, presque tous les ans … La punition est immédiate !!!

Les gens du Sud, savent bien que les olives vertes sont très amères et qu’elles doivent être, traitées, rincées, et conservées dans la saumure avant d’être consommées.

***

Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de la Coopérative oléicole de Bezouce, un petit village à quelques kilomètres de chez moi.

***

Bezouce, connu pour avoir abrité l’enfance d’Alphonse Daudet, est surtout un village agricole : les vignes, les oliviers, les céréales … les archives municipales le prouvent.

Dans le passé, un marché aux olives était organisé deux fois par semaine, mais les producteurs , jugeant le prix d’achat des confiseurs trop bas, décidèrent de se regrouper en coopérative, avec un local situé au centre du village. Ils y traitaient jusqu’a 100 tonnes d’olives vertes. Un moulin à huile verra ensuite le jour… C’était en 1947 …

***

Mais voilà, l’hiver de 1956 va détruire plus de 800 000 oliviers … Il faudra attendre une dizaine d’années pour que l’activité de la coopérative reprenne… lentement.

Les olives étaient juste collectées, calibrées et revendues aux confiseurs.

***

En 2014, l’idée de redémarrer l’activité de confiserie refait surface … En trois ans, les coopérateurs vont vendre l’ancien bâtiment, acheter de nouveaux terrains, et reconstruire une coopérative oléicole moderne, aux normes actuelles. Le tout situé à la sortie du village, avec un grand parking, indispensable de nos jours, pour charger et décharger les caisses d’olives.

Une friche, un bulldozer … un constructeur …

En 2017, c’est leur première saison !

***

Depuis le 7 Septembre, la calibreuse, et les différentes cuves sont prêtes …

Et c’est tant mieux, car les premières olives commencent à arriver !

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Chaque producteur amène ses olives, dans des caisses, en vrac. A la coopérative, elles vont être triées, calibrées, traitées, mises en bocaux et vendues …

***

Le tri

Les olives sont vidées dans un grand bac. A l’aide d’une trémie élévatrice, elles sont montées sur un tapis roulant où elles vont être triées.

Le tri se fait manuellement. C’est un travail sérieux, car on ne doit garder que les olives parfaites sans tache violette, sans éraflure, sans piqûre d’insecte …

Ce qui n’empêche pas la plaisanterie, qui fait un peu oublier le caractère répétitif du travail (deux images d’archives)

Il ne doit rester que les plus belles …

Les autres, comme celles de dessous sont mises dans des caisses à part.

Bien sûr, elles ne sont pas perdues, elles partiront au moulin à huile …

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Revenons à nos belles olives vertes !

***

Une fois triées, et guidées par des petits balais, le tapis roulant les amène sur un autre tapis, fait de câbles de caoutchouc, de plus en plus espacés.

Le but est de les calibrer : les premiers câbles très serrés ne laisseront passer que les petites olives, un peu plus espacés et les olives moyennes pourront tomber, et enfin les très espacés, laisseront passer les plus grosses.

Voilà les olives du producteur sont calibrées, chaque grosseur dans sa caisse.

A titre de curiosité, voilà un tableau qui donne, approximativement, le nombre d’olives pour 100 g, les olives N°00 étant les plus grosses et les N°4 les plus petites

Le traitement

***

Vous le savez, les olives vertes sont très amères. Il faut donc les traiter pour qu’elles soient mangeables

Elles sont traitées par grosseur, car, bien sûr, la dose et le temps sont différents pour chaque catégorie d’olives.

Ce traitement est une affaire de spécialiste …

Le rinçage

Une fois le traitement terminé, les olives trempent dans du jus marron foncé …

Il faut rincer à plusieurs eaux, rincer et rincer encore … Il faut que l’eau soit claire … Il faut  être sûr que les olives soient dépourvues d’amertume …

La prise de sel

C’est la phase conservation. Les olives sont placées dans des bidons, avec de l’eau salée.

Une fois prêtes, elles seront mises en bocaux, et pourront être vendues.

***

Vendues où ?

            Dans la boutique de la coopérative, qui vend, bien sûr ses productions ( olives et huile d’olive des coopérateurs), mais aussi d’autres produits locaux, provenant des alentours de Bezouce : vins, bières de la brasserie voisine, jus de fruits frais, sans sucre ajouté, tapenades, miels … et même des petits plans d’oliviers …

Les coopérateurs de Bezouce (fin de la campagne 2017)

peuvent être fiers de leur réalisation .

Une deuxième génération …

Bonjour !

Le pacha à deux queues,

vous connaissez ?

Je vous en ai déjà parlé, c’est ce très beau et très grand papillon,

dont les chenilles se nourrissent de feuilles d’arbousier.

Garrigues Basses-Lédenon,Pacha à deux queues

Garrigues Basses-Lédenon,Pacha à deux queues

Ailes fermées, il n’est pas mal non plus !

***

En ce moment, vous pouvez l’apercevoir,

sur des arbres fruitiers,

ou à terre,

se nourrir du jus des vieux fruits : raisins, figues …

Vous pouvez aussi l’observer sur les arbousiers, en train de pondre …

car dans le Sud de la France (et donc aux Garrigues Basses de Lédenon),

il y a une deuxième génération qui se prépare …

Garrigues Basses-Lédenon,Pacha à deux queues

Ces photos ont été prises hier :

On peut voir sur ou sous les feuilles,

– des œufs jaunes, de la ponte du jour,

– des œufs presque transparents, mais cerclés de brun,

– des œufs presque noirs .

***

Les photos suivantes ont été prises ce matin.

Garrigues Basses-Lédenon,Pacha à deux queues

Si les œufs jaunes  et ceux cerclés de brun n’ont pas changé …

l’œuf noir a disparu et a laissé sa place à une jolie petite chenille …

(Dans le cercle rouge, la trace de l’œuf disparu)

Garrigues Basses-Lédenon,Pacha à deux queues

Garrigues Basses-Lédenon,Pacha à deux queues

Elle monte, elle descend, bref, elle visite son territoire …

***

Arrivera-t-elle jusqu’au printemps ?

Oui, s’il n’y a pas un trop gros gel,

et si ses prédateurs naturels la laissent tranquille …

(à suivre …)

Un petit reptile méditerranéen …

 

Aïe !

Je vois déjà une de mes fidèles lectrices,

fermer rapidement le blog, en tremblant de peur !!!

 

Mais non, tous les reptiles ne sont pas agressifs,

et surtout pas celui-là.

 

***

Un serpent ?

 

Garrigues Basses,Lédenon, Reptile, Seps strié

Garrigues Basses,Lédenon, Reptile, Seps strié

Garrigues Basses,Lédenon, Reptile, Seps strié

Cela lui ressemble bien, mais …

Regardez bien !

Garrigues Basses,Lédenon, Reptile, Seps strié

Regardez bien ce que j’ai entouré en rouge …

Ce reptile a quatre pattes …

Et les serpents n’ont pas de patte !

***

C’est tout simplement un Seps strié.

***

Le Seps strié (Chalcides striatus),

est un petit reptile de 40 à 45 cm de long,

de couleur souvent bronze.

C’est une espèce très fréquente en Espagne et au Portugal.

En France, on le trouve surtout dans la zone méditerranéenne,

où il affectionne les garrigues,

et leurs pelouses sèches,

avec thym, aphyllanthe de Montpellier et genêt d’Espagne.

Très discret, il n’est pas facile de le rencontrer,

et de pouvoir l’observer.

En général la rencontre est très furtive …

***

Ses ennemis sont nombreux :

– d’autre reptiles plus gros comme la couleuvre de Montpellier,

– des mammifères : renard, belette, putois,

– des oiseaux : hérons, rapaces …

***

Il est unique .

Impossible de le confondre avec d’autres reptiles.

Celui qui lui ressemble le plus , l’Orvet,

n’a pas de patte.

De plus, il est complètement inoffensif pour l’homme .

***

Sans rancune, Pat !!!

 

 

L’escargot et le ver luisant …

 

Le ver luisant, vous connaissez ?

Bien sûr !

C’est même très amusant de chercher leur petite lumière verte,

avec vos enfants ou petits enfants, les soirs d’été …

 

1-Lumière-Capture d’écran 2018-08-21 à 14.23.12.png

La lumière verte ?

C’est le stratagème qu’emploient les femelles,

pour attirer les mâles …

car seuls les mâles ont des ailes et peuvent se déplacer …

A lui de trouver sa femelle …

***

Le ver luisant ou Lampyre

est un insecte un peu particulier :

– le mâle est un coléoptère,

– mais la femelle reste à l’état de larve …

d’où son nom courant de “ver luisant”

 

Garrigues Basses, Escargot,Ver luisant

(Les deux photos du haut ont été trouvées sur internet)

***

Le ver luisant est donc un animal sympathique …

mais pas pour tout le monde !

Si les mâles meurent après la reproduction, sans pratiquement s’être nourris,

les larves et les femelles se nourrissent d’escargots et de limaces.

Elles piquent leur victime,

leur injecte du venin qui les paralyse,

puis des “enzymes gloutons”,

qui les liquéfient …

Elles peuvent ainsi les digérer sans problème !!!

***

Mais cela ne marche pas à tous les coups !!!

Regardez cette attaque en règle d’une femelle ver luisant sur un escargot …

 

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Une fois installée sur la coquille,

elle le pique plusieurs fois …

L’escargot est sans défense,

mais résiste comme il peut …

 

2-Capture d’écran 2018-08-21 à 21.22.22.png

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3-Escargot-Capture d’écran 2018-08-21 à 21.06.03.png

Un premier échec ?

la femelle ver luisant recommence …

Encore et encore …

 

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5-Escargot 3-Capture d’écran 2018-08-21 à 21.11.07.png

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 Sans résultat !!!

L’escargot est vainqueur, par abandon de l’adversaire …

***

La première photo a été prise,

aux Garrigues Basses de Lédenon,

le matin à 07h51…

La dernière à 08h09 …

 

18 mn de piqûres, de morsures …

Un véritable calvaire !!!

 

***

 

Devinette : la réponse

 

 

Devinette !!!

***

 

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Daniel, JR, et Lisa ont bien reconnu une inflorescence de bananier …

Bravo !!!

***

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Petit à petit les fleurs femelles se transforment en bananes

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7-CORI1119 - copie.JPG

 

Le bananier, qui n’est pas un arbre, mais une plante, 

peut atteindre sept mètres de haut …

Au centre de ses feuilles, se développe un bouton floral,

qui produira un régime de bananes..

 

Il faut à peu près 4 Mois, 

pour que les fruits soient mûrs …

Le bananier a besoin pour grandir et produire,

de chaleur et d’humidité.

Il pousse surtout en Amérique centrale,  (Antilles comprises)

en Amérique du Sud,

en Indonésie, Thaïlande, Viêt Nam

et en Afrique (Tanzanie)

Après la floraison, la plante meurt.

***

Ces photos ont été prises lors de notre dernier voyage au Costa Rica .

***