Autour du Lac Myvatn
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Pour aujourd’hui,
nous explorerons la partie située au Nord du lac
Pour y accéder, il faut passer devant la centrale géothermique,
et son impressionnant labyrinthe de conduites en inox.
Les tuyauteries font “un arc de triomphe” au-dessus de la route …
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Balade autour du volcan Krafla et du lac Viti
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Le lac Viti
Du parking, nous avons une très belle vue sur le lac.
Le lac Viti (qui se traduit par “enfer”, en français)
est le cratère d’explosion du volcan Helviti,
apparu en 1724.
Avec ses 300 m de diamètre, il faut compter 1h/1h30mn,
pour faire le tour du sommet.
De là, on a un excellent point de vue sur la zone volcanique.
Le bleu turquoise de l’eau est donné par des algues siliceuses.
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Le volcan Krafla
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Ce n’est pas un “volcan montagne”,
comme on a l’habitude de voir.
C’est “un cratère égueulé”,
(aux bords échancrés),
qui s’est formé lors d’une éruption en 1977.
Autre éruption en 1984, il est toujours actif.
JF en fait le tour,
En continuant le petit chemin,
sur le bord du cratère,
je découvre un autre petit lac bleu …
Partout ça fume, c’est chaud, ça sent le soufre …
ce qui ne gène pas du tout ces moutons …
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Toujours sur le site de Krafla,
nous traversons des champs de lave,
pour aller sur la montagne Leirhnùkur.
Il est prudent de rester sur les chemins balisés,
la lave est fragile et coupante,
par endroit encore chaude,
et d’énormes fissures, apparaissent sous la mousse.
Il faut une petite demi-heure pour monter en haut de la montagne.
Comme pour le volcan Krafla,
le cratère est fumant.
Tout est très bien aménagé.
On circule sur des passerelles et escaliers en bois,
qui nous guident sur tout le site .
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D’en haut, la vue est extraordinaire !
Je vous laisse regarder …
Vous reconnaîtrez certainement des photos de ma deuxième note
sur “Les couleurs de la Terre”
Une petite maladresse qui coûte cher … Très cher !!!
(Objectif Canon … 900 € …)
Heureusement, ce n’est pas celui de JF …
De quoi vous gâcher la journée …)
Nous redescendrons par les coulées de lave.
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Finies, les belles couleurs … C’est noir !!!
En réalité, pas tout à fait …
Si les laves anciennes sont grises, les laves récentes,
présentent une grande variété de couleurs :
du noir profond à toutes les tonalités du rouge,
dues à l’oxydation du fer qu’elles contiennent …
Du gris au vert,
car certaines commencent à être colonisées
par des mousses et lichens …
Et là, au milieu de cette étendue de lave noire,
un petit carré d’herbes et de mousses
et un petit groupe d’une jolie fleur violette,
encore toute humide de la pluie de la nuit :
Pinguicula vulgaris
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à suivre …