Juin : ailleurs dans le monde … au Yucatán (suite)

 

Nous sommes toujours à l’hacienda Temozón,

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et nous partons faire une petite balade sur la route Puuc.

Le style Puuc se caractérise surtout par des parements en pierres sculptées,

accolées les unes aux autres, en formant une mosaïque.

Les colonnes, aussi sont différentes, plus fines, plus aériennes.

 

Uxmal

***

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La grande pyramide du Devin.

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Le palais du Gouverneur (100 m de long, et 20000 pierres sculptées),

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Quelques kilomètres plus loin, Kabah

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Encore une profusion de pierres

représentant des masques de monstres, de personnages bizarres …

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Juste après, un autre site, dont il ne reste que le Grand Palais : Sayil

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Très belle balade !!!

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Dernière nuit à Temozón …

***

Nous affrontons la route nationale …

 

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Les camions sont immenses,

on se croirait presque en Australie …

Mais non !

Nous arrivons à l’hacienda Santa Rosa

 

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Bleue ou rouge cramoisi, la couleur des murs tranche avec le vert du gazon,

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et le rose vif des bougainvillées.

 

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Repos total pour deux jours.

***

Une journée en barque,

dans la réserve de Biosphère de Celestún, classée Unesco.

 

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Mais il y a bien d’autres oiseaux :

pélicans, aigrettes, frégates, cormorans, hérons, aigles pêcheurs …

et des crocodiles !!!

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La journée se termine par une baignade dans un “ojo de agua” (œil d’eau)

C’est un cénote, qui s’est formé sous la lagune.

Son eau douce, apparaît comme une tache bleue et curieusement,

elle ne se mélange pas avec l’eau salée de la mangrove.

Surprenant et très agréable .

***

Demain, nous partons pour Mérida, la capitale du Yucatán.

***

 

 

 

Juin : ailleurs dans le monde … au Yucatán

 

Le Yucatán …

 

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… un tout petit bout du Mexique. 

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Je vous ai déjà parlé de ce petit voyage,

dans mes notes du 03,06,et 11 Mai :

Les filles de l’air,

Le sisal , les haciendas …

Mais il y a bien d’autres choses à voir, sur ce petit bout de péninsule mexicaine.

***

Nous laisserons Cancún de côté,

malheureusement complètement défiguré par des barres d’hôtels.

***

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Nous arrivons à Valladolid :

petite ville à l’ambiance mexicaine,

avec ses maisons colorées, ses bâtiments à arcades,

ses artisans authentiques,

et bien sûr, sa cathédrale.

Nous logeons à la “Mesón del Marqués”,

ancienne vieille demeure, transformée en hôtel.

La terrasse de notre chambre donne sur la place illuminée …

Et je ne vous parle pas du restaurant … Délicieux !!!

 

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Le lendemain, nous irons visiter le couvent de San Bernardino.

Un moment de mystère …

***

En route pour Chichén Itza !

Nous pénétrons dans le site,

par une allée encadrée par des vendeurs de souvenirs de toutes sortes …

pas forcément fabriqués au Mexique …

Quel dommage !

 

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 Mais le site est beau, très beau …

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La visite est rendue difficile, par un soleil de plomb et une température de 45° à l’ombre.

Le problème c’est qu’il n’y a pas un seul coin d’ombre…

On ne grimpe plus sur les pyramides,

depuis qu’un touriste est tombé …

et a porté plainte “pour cause de marches irrégulières”…

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Le jeu de pelote était le théâtre de batailles acharnées …

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Nous arrivons au Cénote sacré ou “Cénote des sacrifices”.

C’était un lieu de culte pour les Mayas :

Ils y jetaient des offrandes diverses …

Mais c’était aussi un lieu de sacrifices humains,

et comme on voulait donner le meilleur aux Dieux,

on lui jetait le vainqueur du jeu de pelote …

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C’est immense, il faut compter 4 à 5 heures de visites.

***

Le soir nous dormons à l’Hacienda Chichén, située à l’entrée du site.

La fraîcheur des arbres et de la piscine est la bienvenue .

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La visite du jardin potager est très instructive :

on y trouve tous les légumes, les bonnes herbes et les fruits

qui font l’originalité de la cuisine mexicaine.

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On y voit aussi quelques arbres bizarres :

Le Cedro : les hommes l’utilisent surtout pour son bois,

les oiseaux raffolent de ses graines …

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Le Pitche , qui se traduit par “arbre à oreilles”,

nom donné à cause de la forme de ses graines.

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C’est dans cette région qu’il y a le plus de cénotes :

ici, aucun sacrifice, mais d’excellentes baignades …

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 Les cénotes  sont des effondrements de terrains calcaires,

qui ont été envahis par l’eau douce.

On pense de plus en plus que ces effondrements ont été provoqués 

par la chute d’une météorite (la même qui aurait provoqué la fin des dinosaures)

 Tous les cénotes ne sont pas sacrés (heureusement !)

mais ils servent tous de réserves d’eau, dans cette région aride.

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 ***

Après ces trois nuits de fraîcheur, nous repartons vers l’hacienda Temozon.

Mais avant, il faut affronter les petites routes …

 

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Des croisements de chemin de fer sans passage à niveau,

des chemins de terre complètement perdus …

mais le GPS est formel : continuez tout droit, même s’il appelle ce chemin “Route sans nom”.

Des trous, des pierres ou des arbres au milieu du chemin …

mais nous n’avons aucune possibilité de faire demi-tour !!!

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Dans les villages, le triporteur local est roi :

assemblage savant de plusieurs mobylettes, vélos, sièges en bois et parasol,

c’est le moyen de locomotion de tous …femmes, enfants, chiens, poules …

Attention aux ralentisseurs !!!

Ils les appellent les “Matacarros” (casse-voiture)

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Chaque village a son petit couvent …

***

Nous arrivons au site de Mayapán

 

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Ici, pas un seul marchand de souvenirs.

On visite sous le seul chant des rapaces 

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***

Nous arrivons enfin, à l’Hacienda Temozón, notre escale pour deux nuits.

Superbe !

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Tout a été conservé :

la salle des machines, les outils,

l’écurie transformée en salle de réception ( mariages, fêtes …)

les rails et les wagonnets …

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Le dernier jour, on nous propose une baignade dans le cénote de l’hôtel …

“Il n’est pas à côté de l’hôtel : Tabaco vous conduira”…

Une expérience à faire absolument !!!

 

(à suivre …)

 

***

Un rhinocéros

 

Il s’agit, bien sûr de l’insecte des garrigues :

le scarabée rhinocéros (Oryctes nasicornis),

appelé ainsi, à cause de la corne que portent les mâles.

 

faune,insectes,rhinocéros

De couleur brun rouge brillant, il mesure de 2 à 4 cm.

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Les pattes avant sont munies de 3 dents.

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C’est un insecte qui sort principalement la nuit, qui est attiré par les lumières.

A chercher autour des projecteurs des jardins !

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C’est un insecte phytophage, qui se nourrit de nectar et de sève,

alors que ses larves se nourrissent de bois mort ou malade.

***

Son cycle de vie

***

La femelle peut pondre une centaine d’œufs, 

dans du compost ou au pied d’arbres malades.

Les larves vont se développer pendant 2 ou 3 ans,

dans le compost ou dans le bois d’arbres blessés.

Elles ressemblent à de gros vers blancs (6cm environ), comme celles du hanneton.

A maturité, elles  s’enfoncent dans le sol, où elle se construisent une petite loge en terre,

et se transforment en nymphe, (à la manière de certains papillons nocturnes).

Les Rhinocéros adultes sortiront le printemps suivant, en Juin …

C’est le moment d’observer !

Sa vie d’adulte est de courte durée.

 

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***

Ailleurs 

 

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Certainement un cousin d’Amérique,

piégé dans les longues épines de ce palmier épineux du genre Aiphanes

(Photo prise dans le Nord-Ouest argentin)

***

 

La pyrale du buis (suite)

 

Souvenez-vous !

la semaine dernière, je vous parlais de la Pyrale du Buis 

 

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Encore une espèce invasive !!!

***

Elle nous vient de Chine ou du Japon,

a été importée accidentellement, en 2005,

mais n’a été repérée en France qu’en 2008.

la Pyrale du buis (Cydalima perspectalis)

est un papillon nocturne, qu’on peut voir, la nuit, près des sources lumineuses.

Insectes nuisibles,pyrale du buis

Il mesure, à peu près 4 cm d’envergure

et est de couleur blanche bordée de brun.

Repéré d’abord en Allemagne, il est connu, aujourd’hui, 

de l’Alsace à la Côte d’Azur,

et du Poitou-Charentes au Midi-Pyrénées.

 ***

Sa chenille ne se nourrit que de feuilles de buis.

insectes nuisibles,pyrale du buis

Verte avec des bandes et des verrues noires,

pourvue de gros yeux noir brillant,

elle mesure adulte 3,5 à 4 cm.

Avec 3 générations par an, la Pyrale du buis,

se propage très rapidement.

Si aucun exemplaire n’est encore signalé dans le Gard,

“nous sommes cernés” par la Provence et la région Midi-Pyrénées,

où elle est présente.

Il faut donc rester vigilants !!!

*** 

Il n’y a pas beaucoup de solutions pour s’en débarrasser :

– la première est de repérer les chenilles et de les écraser …

Elles ne sont pas urticantes, mais cela ne peut marcher

que si vous n’avez que quelques exemplaires.

– la seconde c’est de pulvériser du Bacillus thuringiensis,

le même produit que pour les chenilles processionnaires.

C’est un produit biologique qui ne tue pas les abeilles.

***

N’ayant pas de photos personnelles,

(les deux photos ci-dessus proviennent du Museum de Toulouse)

Je me permets de vous signaler ces trois sites

où vous pourrez glaner d’autres informations.

 

 http://aramel.free.fr/INSECTES54.shtml

 

http://www.insectes-net.fr/pyrale/pyrale1.htm

 

http://www.pyrale-du-buis.com/actualite/67/La-pyrale-du-buis-a-l-attaque-de-vos-jardins-sur-TF1.htm

 

http://www.ciedesjardiniers.com/article-37.html

 

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J’avais aussi envoyé un petit mot à Noé Conservation,

pour demander des précisions, sur le cycle de vie de la Pyrale du buis.

Et voici leur réponse .

 

Bonjour,

 
Je vous remercie pour votre message et désolée pour ma réponse tardive.

La pyrale du buis hiberne sous forme de chenille,abritée dans un cocon installé dans les buis ou les plantes situées à proximité. Au début du printemps (selon les conditions météorologiques), les chenilles mangent les feuilles du buis et peuvent atteindre jusqu’à 5 cm de long. Après un stade larvaire de 4 semaines, les chenilles rejoignent leur cocon et entament leur nymphose (environ une semaine). Une fois éclos, les papillons cherchent de nouveaux buis dans les environs et déposent leurs œufs sur la face inférieure des feuilles. Les papillons vivent environ 8 jours. Selon les conditions météorologiques, on peut observer 2 à 3 (voire même 4) générations de pyrales du buis par an.

Le problème avec la pyrale c’est que les chenilles dévorent le buis de votre jardin et les nouvelles chenilles issues des papillons peuvent elles aussi dévorer le buis de votre voisin. 
 
Si vous êtes très gêné par les chenilles et souhaitez favoriser votre buis, le mieux c’est peut-être de lutter mécaniquement en enlevant les chenilles à la main. Et si le problème persiste, n’hésitez pas à faire appel à un spécialiste afin d’éviter tout risque pour l’environnement ou la santé humaine. 

Espérant avoir répondu à vos attentes.

Bien cordialement.

Véronique de Noé


Noé Conservation
 
 
44 rue Liancourt 75014 Paris
 
***
 

Devinette : la réponse

 

Avez-vous trouvé ?

***

Régis a trouvé tout de suite ! 

Et Maël aussi !!! 

Bravo à tous les deux !!!

(voir les commentaires sur la précédente note)

 

DSC02974 - Version 2.JPG

DSC02979.JPG

DSC02974.JPG

Voici sa photo en entier.

DSC02975.JPG

Le Durian (Durio zibethinus)

est un arbre tropical, originaire d’Asie, de la famille des Bombacacées,

comme les baobabs, ou le fromager dit “Arbre à kapok”.

Capture d’écran 2014-06-09 à 18.48.47.png

DSC02976.JPG

C’est un énorme fruit de 30 à 40 cm de hauteur

et d’un poids pouvant aller jusqu’à 5Kg.

Il est surtout connu pour sa très forte odeur très désagréable,

ce qui explique que ce fruit soit interdit dans les métros, les aéroports

et tout autre transport public …

Heureusement, la chair jaune qui se trouve à l’intérieur,

a, paraît-il un goût délicieux …

Comme Régis (voir commentaires d’hier),

je n’ai jamais eu envie de goûter.

DSC02986.JPG

DSC02984.JPG

Toutes les photos ont été prises

dans un grand magasin de produits frais de Nîmes. 

***

Alerte à la Pyrale du buis

 

Encore une espèce invasive !!!

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Elle nous vient de Chine ou du Japon,

a été importée accidentellement, en 2005,

mais n’a été repérée en France qu’en 2008.

la Pyrale du buis (Cydalima perspectalis)

est un papillon nocturne, qu’on peut voir, la nuit, près des sources lumineuses.

Insectes nuisibles,pyrale du buis

Il mesure, à peu près 4 cm d’envergure

et est de couleur blanche bordée de brun.

Repéré d’abord en Allemagne, il est connu, aujourd’hui, 

de l’Alsace à la Côte d’Azur,

et du Poitou-Charentes au Midi-Pyrénées.

 ***

Sa chenille ne se nourrit que de feuilles de buis.

insectes nuisibles,pyrale du buis

Verte avec des bandes et des verrues noires,

pourvue de gros yeux noir brillant,

elle mesure adulte 3,5 à 4 cm.

Avec 3 générations par an, la Pyrale du buis,

se propage très rapidement.

Si aucun exemplaire n’est encore signalé dans le Gard,

“nous sommes cernés” par la Provence et la région Midi-Pyrénées,

où elle est présente.

Il faut donc rester vigilants !!!

*** 

Il n’y a pas beaucoup de solutions pour s’en débarrasser :

– la première est de repérer les chenilles et de les écraser …

Elles ne sont pas urticantes, mais cela ne peut marcher

que si vous n’avez que quelques exemplaires.

– la seconde c’est de pulvériser du Bacillus thuringiensis,

le même produit que pour les chenilles processionnaires.

C’est un produit biologique qui ne tue pas les abeilles.

***

N’ayant pas de photos personnelles,

(les deux photos ci-dessus proviennent du Museum de Toulouse)

Je me permets de vous signaler ces trois sites

où vous pourrez glaner d’autres informations.

 

 http://aramel.free.fr/INSECTES54.shtml

 

http://www.insectes-net.fr/pyrale/pyrale1.htm

 

http://www.pyrale-du-buis.com/actualite/67/La-pyrale-du-buis-a-l-attaque-de-vos-jardins-sur-TF1.htm

 

http://www.ciedesjardiniers.com/article-37.html

 

 

 

 

Dragonüs …

 

Hier soir, dans le cadre de la Feria,

Nîmes a eu la visite d’un énorme dragon,

fait de métal et de papier …

Dragonüs .  

 

feria, Nîmes

Le boulevard Jean-Jaurès était noir de monde, pour voir passer le bête,

encadrée par des soldats romains montés sur échasses à rebonds.

feria, Nîmes

feria, Nîmes

Du Jardin de La Fontaine à la place Séverine, le dragon n’a pas cessé de cracher du feu,

à la grande joie des enfants … et des autres.

feria, Nîmes

Après un long aller-retour,

Dragonüs s’est arrêté au centre du boulevard…

feria,nîmes

… pour nous offrir un curieux spectacle :

feria,nîmes

 Duels de Romains sur échasses,

accompagnés de fumigènes, feux d’artifice,

et d’un petit bonhomme noir bondissant, (sans échasse), qui faisait des acrobaties au milieu.

feria,nîmes

Le tout sous les yeux du dragon, très en colère …

feria,nîmes

 ***

feria,nîmes

Puis, le petit bonhomme noir est revenu,

et suspendu à deux sangles qui tombaient de la tête du dragon, 

il a exécuté une série d’acrobaties,

montant et descendant sur les sangles uniquement à la force des poignets et des jambes.

feria,nîmes

feria,nîmes

feria,nîmes

feria,nîmes

A la fin, c’est lui qui tuera le dragon d’un coup de dague .

feria,nîmes

feria,nîmes

Après quelques sauts à la corde, avec échasses (pas facile !),

le spectacle s’est terminé par des feux de Bengale …

feria,nîmes

Merci à la compagnie Malabar, de nous avoir offert, ce spectacle de rue très réussi.

***