Arrivée sur l’île de Nosy Be :
“des plages et des fleurs”.
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L’ambiance est différente, détendue,
ici, les habitants vivent du tourisme :
les pêcheurs, les agriculteurs, vendent leurs produits aux hôtels,
hôtels décorés avec l’artisanat local,
les jeunes sont guides, cuisiniers, jardiniers ou chauffeurs …
Nosy Be est une île fleurie, rose de porcelaine, frangipaniers,
mais aussi, plantations de vanille et d’ylang-ylang qui fournissent les grands parfumeurs français.
La capitale de l’île est très animée,
la restauration des monuments historisques, n’est pas au point …
et, comme partout le zébu est roi.
Il ne faut pas manquer le marché :
on y retrouve tout l’artisanat de la grande île,
avec, bien sûr les brodeuses de Nosy Be.
Elles brodent sur place, à côté de leur stand, et quelquefois, entre deux tétées …
Magnifique travail !!!
Une balade à l’intérieur de l’île, nous permettra de voir plusieurs espèces de caméléons,
très nombreux à Nosy Be.
Nosy Be, c’est fini,
Nous prenons le bateau rapide, pour l’île de Tsarabanjina,
plus au nord, dans l’archipel des Mitsio.
5 jours de détente …
Cette petite île n’a rien à envier à certaines îles des Seychelles :
immenses plages, rochers, faune marine …
Nous partirons une journée en bateau, sur la Grande Mitsio,
voir un phénomène géologique exceptionnel :
des orgues basaltiques
Hautes de plusieurs dizaines de mètres, ces roches brunes, verticales,
et à section hexagonale, sont un phénomène tout à fait naturel.
Une plongée et nous les voyons aussi sous l’eau !
Attention, ça glisse et ça taille …
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Spectacle magique au coucher du soleil !!!
Madagascar, c’est fini !
La faune, la flore, les paysages, les sourires et les rires des Malgaches,
Et pourtant !
C’est celui où nous avons eu le plus de problèmes …
– A l’arrivée à Tananarive, Air France avait oublié nos bagages à Roissy …
– La première nuit à Tananarive, il y a eu un gros tremblement de terre :
toute la ville a tremblé, des maisons se sont effondrées…
Notre chauffeur était inquiet, le lendemain matin,
mais nous, nous avions dormi comme des bébés.
– Le train pour Manakara a eu 8 heures de retard,
nous avons donc fait tout le voyage de nuit : adieu cascades, forêts en fleurs, ponts …
– Nous n’avons pas pu voir le Parc de l’Isalo, à cause d’un gros incendie de brousse.
– Notre avion Tuléar/Morondava est tombé en panne,
et nous avons perdu une journée de voyage qu’il a fallu rattraper.
– Vu le poids de nos achats, nous n’avons pas échappé à une grosse taxe pour dépassement !
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Avant de partir, un peu d’humour malgache !!!
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Dernier achat à l’aéroport :
deux petits cœurs en labradorite …
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