Juillet : ailleurs dans le monde … Samarcande

 Boukhara, Samarcande,

la suite du voyage. 

 

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Samarcande

Inscrite au patrimoine mondial et déclarée “Carrefour des cultures” par l’UNESCO.

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Nous arrivons à la tombée de la nuit,

et aussitôt les valises posées à l’hôtel,

nous partons visiter la ville, de nuit, et voir les illuminations des monuments.

D’abord le Gour Emir

C’est le tombeau de Tamerlan, de ses enfants et petits-enfants.

Il est coiffé d’une magnifique coupole bleu vif.

Il a servi de modèle pour d’autres mausolées comme le Taj Mahal en Inde.

 

 Tous les reliefs intérieurs sont faits de papier mâché doré.

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Ensuite la Place du Reghistan,

entourée de ses trois madrasas.

 

De jour c’est beau aussi ! 

 

Encore des intérieurs somptueux !

 

Encore des madrasas avec des échoppes d’artisans !

Et toujours des coupoles !

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La Nécropole de Shah-I-Zinda 

Située sur une colline, un peu à l’écart du centre ville,

cette nécropole est une suite de mausolées,

où sont enterrés les autres membres de la famille de Tamerlan,

et quelques fidèles compagnons.

Ces mausolées ont été construits, au fur et à mesure des décés,

ce qui montre un échantillonage de l’art de la céramique.

Céramiques émaillées et sculptées, briques vernissées,

calligraphies en arabe et en persan, 

dessins floraux et géométriques,

tous les portails des mausolées sont richement décorés.

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Vue d’ensemble de la nécropole

Les mausolées sont construits de chaque côté d’une rue en pente.

Intérieur, extérieur, tout était en restauration, quand nous l’avons visitée.

 Les outils des artisans locaux sont rudimentaires :

ici, une feuille de papier sert de mesure pour l’espacement des briques.

Un peintre, fier de son travail.

 Nous redescendons “l’Escalier du Paradis”…

Samarcande, c’est fini !

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Vie quotidienne

Silhouette slave ou européenne,

Turban turc ou casquette de rappeur …

 en Ouzbékistan, le “traditionnel” et le “moderne” se côtaient tous les jours.

 Seuls les écoliers et les étudiants ont un uniforme,

 ceux des petites filles sont particulièrement beaux, avec broderies et dentelles.

A l’école, aucun signe d’ethnie ou de religion.

L’enseignement est gratuit, obligatoire et laïque jusqu’à l’université, pour tous, garçons et filles.

Seulement 0,06% de la population est analphabète.

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Portrait idyllique ?

Oui, mais …

La suite demain.